De l'Oasis du Désert Infini aux Berges du Pleureur

Galdec s'approche d'un oasis, jette un oeil à l'assemblée des humains présents autour du point d'eau et voyant que de nombreux membres de l'escouade étaiet là pour se rafraichir, il décide de s'adresser à eux en ces termes:

"Compagnons,

Volià maintenant plusieurs semaines que notre Chef Delfador est retenu loin de nous,

Voilà maintenant des semaines que nous marchons et guerroyons des Berges du Pleureur à la Plaine de Jolmat en passant par le Bourbier pour nous retrouver, finalement, dans ce désert.

Alors buvons à notre santé à tous et au retour prochain de notre Chef qui devrait être fier de ce qui a été accompli.

Humains non membres des Chevaliers Noirs, merci de vous être joints à nous et de participer à cette campagne ensoleillée.

Espérons que les jours qui viennent nous voient encore triompher de nos ennemis et que chacun de nous puisse tirer profit de ces longs jours de marche, de privations et de souffrances.

Gloire et Honneurs pour les Humains,

SANTE à Tous"

Tous à boiiiiiiiiiiiire!!!

beugla Ehron, en titubant...

Faramyr arriva près de cet oasis, redécouvrant la vie humaine après des semaines d'isolement loin des siens. Il alla saluer Galdec tout d'abord, un ami de longue date avec qui il avait fait maintes et maintes batailles :
"Galdec ! Heureux de te retrouver ! Ca faisait un moment que l'on ne s'était plus croisé ! Heureux de revoir les CN, toujours aussi forts !"
Puis il se tourna vers Ehron :
"Faudrait qu'on conclue notre affaire au plus vite tous les 2 ton fléau t'attends impatiemment"
Se tournant vers l'assistance :
"Si vous avez besoin de matos faut le dire j'ai peut etre de l'occase qui pourrait vous convenir"
Finalement il alla s'asseoir au bord de l'oasis, posant son lourd paquetage d'arme dont la moitié ne lui servait à rien

Galdec appréciait ce moment de répis à sa juste valeur,

Ils avaient tous marchés de longues heures, souffert dans leur chair et leur âme, mais ils avaient malgré tout avancé.

Il était fier de faire partie de cette troupe humaine composée de Chevaliers Noirs,
mais également de valeureux compagnons connus lors d'autres combats, tels ces Enragés qui contenant leur rage passée ne lachaient rien
ou encore Doubleiu et Poilu qui l'impressionnaient par leur calme et leur froide détermination
Il était également heureux de voir Faramyr en bonne santé après avoir eu peur que ce dernier ne trépasse lorsqu'il avait reçu sa missive dans la plaine de Jolmat.

Entourant de ces bras Thorkel et Faramyr il invita ses deux compères à boir pour la réussite de cette éxpédition et espérait-l la prise du PR pour el lendemain après une bonne nuit de repos.

Puis il passa voir chacun de ses compagnons pour prendre des nouvelles de chacun et connaître leurs sentiments sur la situation.
Il fallait se devait d'être attentif à chacun, la défaillance ou les doutes d'un suel pouvait avoir des conséquences néfastes sur tout le groupe.
La cohésion était al clé de la résussite. Et n'était-ce pas lui qui avait proposé cette folle ballade ensablée ...

Enfin, rassuré sur le moral de tous les membres de la Horde sauvage qui s'était constituée, il retrouna près de Faramyr et Thorkel pour discutrer un peu et prendre du repos qu'il estimait mérité.

Apaisé il se décida à parler à Thorkel en arborant un visage décontracté et serein afin que celui-ci comprenne qu'il n'y avait point de lourds reproches dans les propos qu'il allait tenir:
"Mon ami, qu'elle folie ce matin, le nettoyeur ce serait-il laissé griser par la bataille ou aurait-il été envouté.
Quelle frayeur lorsque je t'ai vu te porter au devant de cet elfe, dont lescouade est en paix avec la nôtre, en faisant tournoyer ta redoutable masse.
Quel soulagement lorsque je t'ai vu te reprendre et finalement laisser ce pauvre homme, en sang et en hardes, s'éloigner de toi.
Toutefois, si cet acte n'est point glorieux il aura le mérite de faire comprendre aux elfes que nous ne sommes pas là pour nous amuser, si nous sommes capable de cela avec des gens à qui nous ne voulons aucun mal que penser de ce que nous pouvons faire à ceux que nosu considérons comme nos ennemis..."

Ayant fini sa diatribe, Galdec parti dans un fou rire si retentissant qu'il s'entrendrait surement jusque chez les Orcs mais cela n'avait pas d'importance, ce qui comptait c'était que Thorkel oublie vite cet épisode et demeure la bête de comabt qu'il était ... Le NETTOYEUR ...

Avant de s'assoupir il pensa à Jolmat, aux actes héroïques de ce valeureux combattants, et se demanda ce que ce dernier aurait élaboré comme stratégie en pareil circonstances.

Après un regard sur l'horizon pour vérifier l'absence momentanée d'ennemis, Loric se dirigea vers l'eau et s'agenouilla devant avant de boire un peu. Après quelques instants, il retira sa capuche et plongea tout simplement la tête dans l'eau avant de la ressortir en laissant l'eau couler sous l'armure. Il retira ensuite ses bottes et vérifia qu'aucune ampoule ne viendrait l'empêcher de courir dans le sable les prochains jours.

"Aaah, enfin un moment de détente...sans orques...sans cadavres ambulants, juste nous et de l'eau, un vrai petit coin de paradis..." dit il en s'allongeant dans le sable et en machouillant une des rares herbes qu'il venait d'arracher

Quelques instants plus tard, sa respiration se fit plus régulière : il venait visiblement de s'endormir la tête sur son paquetage et les pieds dans la vase au bord de l'eau.

Galdec avait quitté ses compagnons à l'aube pour se rendre au sanctuaire,
il avait besoin de se recueillir.

C'est en ces lieux et alors qu'il allait reprendre sa monture pour rejoindre la troupe humaine qu'il découvrit un vieil homme à la peau brunes et aux yeux gris. Cet ancien semblait à la fois infiniment vieux et mailicieux.

L'homme lui sourit et lui demanda s'il navait pas besoin que l'on prenne soins de son matériel. D'abord soupçoneux, Galdec le toisa, avant de se laisser convaincre de lui confier son armure ainsi que son épée.

Après deux heures d'attente, sans arme ni armure pour se défendre ou se protéger et avoir subi une dizaine d'attaques de ces vils elfes qui maraudaient dans le secteur, Galdec récupéra ses biens.

Son armure était étincellante et paraissait plus légère tandis que son épée semblait plus tranchante que jamais et mieux équilibrée. Après avoir remercié le patriarche et réglé les émoluments réclamés par ce dernier, le soldat se remit en chemin à travers les dunes.

Alors qu'il regagnait "la Horde", il croisa Celno. Ce magicien avait osé l'attaquer pendant sa retraite au sanctuaire, il était donc juste qu'il essaya l'efficacité de son arme sur cet ennemi.
Les quatre frappes touchèrent avec une aisance déconcertante et les protections de l'elfe ne semblaient pas plus résistantes que du beurre laissé sous le soleil.
Pas de doute, son arme avait été rendue plus efficace par un équilibrage et un affutâge parfaits et son armure lui pesait moins ce qui rendait les mouvements plus aisés.

Heureux, Galdec continua son chemin pour réintégrer les rangs de la Horde qui avancait toujours vers le PR, tout en laissant son ennemi pantelant à la merci d'un autre ...

Tout en entrant dans les lignes humaines afin de rejoindre les soigneurs, il cria quelques mots à ses compagnons:

"Serrez les rangs, faites front, àl'assaut"

A n'en pas douter le PR serait humain avant le coucher du soleil ... et des elfes tomberaient encore sous le soleil ... il fallait venger Nepher et la traitrise faite il y a peu aux Enragés.

Chaque jour des orcs succombaient sous les coups des membres de la Horde humaine.

Toutefois ces derniers n'avaient pas l'intention de laisser une colonnie humaine prendre pieds si près de leur village aussi chaque jour de nouveaux renforts se joignaient aux survivants.
Le front ouest était en difficulté qu'à cela ne tienne, le nord et le sud allaient bientôt être le théâtre de nouveaux affrontements.

Afin de démontrer leur détermination et leur combattivité quelques humains décidèrent de monter une expédition guerrière dans la nuit.
A n'en pas douter le ciel serait noir, le sable devriendrait rouge ...

Après avoir fait subir de lourdes pertes à l'ennemi, celui-ci ploya mais pu maintenir ses positions grâce à la proximité du village orc.

Alors que les humains allaient une nouvelle fois se préparer à monter à l'assaut, un héraut arriva afin de quérir aide et assistance pour al défense du village. Il n'ometatit pas de signaler la présence de quelques Deux fois nés qui étaient en route vers le Bourbier pour aller contrer la prise du PR.

La décison fut vite prise. On attaquerai une denrière fois les orcs en une sorte de baroud d'honneur, puis le sud des Berges du pleureur serait pris pour destination afin de renforcer les troupes humaines engagées dans la défense du village.
Bie évidemment le détachement MV qui tentait de rejoindre le Bourbier serait détruit au passage...

Galdec se mit à penser à tous les combats engagés depuis quelques semaines et se dit que ... Berges du Pleureur, contre attaque sur les MV avaient comme un goût de déjà vu, voir de retour en arrière ...

Delfador n'allait sans doute pas tarder à revenir et alors il pourrait restituer le commandement au leader historique des CN.
Bien qu'ayant la conviction que les choses s'étaient plutôt bien passées, et qu'il n'avait pas (a priori) à rougir du bilan obtenu, Galdec était fébrile et se demandait quels jugements pouvaient avoir les CN et Delf sur les actions menées l'escouade sous son égide ...

Il fallait balayer ces interrogations et vite se rendre à proximité du village, des combats l'attendaient et on allait pouvoir reformer les rangs avec ceux qui étaient de retour de vacances bien méritées.

C'est une marrée humaine qui est venue battre les berges du pleureur ...
elle a emportée nombre de MV qui étaient restés pour faire front, les os vermoulus se sotn brisés sous les assauts.

Une troupe MV demeurent accrochée à la face ouest du PR, il nous faut déferler au plus vite sur l'ennemi et ce en les privant du pont leur livrant les sentiers du Bourbier, en bloquant toute possibilité de mouvment vers l'ouest (notre village) et vers l'est (car ils reprendraient des forces avant de revenir. Laissons leur une porte de sortie vers le nord où ils pourront être pourchassés par quelques un avec un minimum de risque.