Les ténèbres s'abattent...

Ehron s’éveilla en sursaut dans la nuit. Il se redressa silencieusement, glissant ses couvertures rugueuses de coté, et observa les alentours. Le camp était calme, endormi, à part quelques sentinelles dont les ombres s’agitaient sous l’effet du vent sur les flammes.
Il se trouvait à l’extrémité ouest du camp, près de la rivière. Il comprenait confusément, encore engourdi de sommeil et d’alcool, qu’un bruit provenant de cette direction l’avait éveillé.

Il se leva donc, grognant à cause de ses membres encore endoloris du combat de la veille contre les morts vivants, et se dirigea calmement vers la rivière, n’oubliant pas auparavant de prendre son fléau qu’il aimait tant.

Seul le bruissement du vent dans les feuilles et le clapotis de l’eau sur les rochers résonnait dans la nuit. Il prêta l’oreille plus attentivement et entendit un bruissement provenant d’un bosquet a quelques dizaines de mètres. Comme si on traînait quelque chose sur le sol envahi de feuilles…
Il se dirigea précautionneusement vers le bosquet, courbé en deux, silencieux comme une ombre. Il sentit tout à coup son pied se prendre dans une racine qu’il n’avait pas vue et jura à voix basse contre sa maladresse. Il n’avait pas trop bu pourtant hier. Il essaya de dégager son pied doucement, puis plus fortement sans y parvenir. Malgré l’obscurité il réussit tout de même à distinguer ce qui le retenait. Ce n’était pas une racine, c’était un bras. Un bras décomposé. Et il bougeait !

Négligemment, il empoigna le fléau qu’il avait au dos et l’abattit sur le bras d’un seul mouvement. Le bras, broyé, tressauta et Ehron put libérer son pied. Il releva enfin la tête et s’aperçut que des zombies, momies et autres morts vivants surgissaient lentement de terre, par gestes saccadés. Du bosquet sortirent lentement, mais inexorablement, une masse informe de zombies, traînant leurs membres, laissant tomber parfois des bouts de chair putréfiés, et même quelquefois des parties entières de leur anatomies dévastée. Ils étaient menés par une poignée de liches aux yeux flamboyants, trouant la nuit d’éclats terrifiants. Des molosses décharnés galopaient autour d’eux, se déplaçant à une vitesse inhumaine. Du coin de l’œil, il aperçut des formes qui émergeaient de la rivière, dégoulinantes, immondes.
Il se reprit devant ce spectacle macabre, écœurant, et se retourna dans le but de sonner l’alerte. Il n’eut pas le temps de finir son mouvement que deux bras mutilés mais d’une force stupéfiante s’abattirent sur son torse et sa bouche l’empêchant de proférer le moindre son.
D’un coup de rein, il propulsa son adversaire par dessus lui. Le zombie tomba lourdement, dans un sinistre craquement d’os, sur le sol à quelques mètres de ehron.
Ehron rugit dans la nuit un appel à ses compagnons, les prévenant ainsi d’une attaque surprise des deux fois nés.
Son cri troua le silence tel un coup de tonnerre sur une mer paisible, provoquant une tempête dans le camp humain. Les Chevaliers noirs et leurs compagnons s’agitaient maintenant en tout sens pour répondre à la sinistre menace…

Ehron eut à peine le temps de reprendre son souffle. Les morts vivants se pressaient déjà autour de lui… Il fit tournoyer son fléau à bout de bras, créant un espace vide autour de lui, arrachant un membre, une tete, un morceau de chair à toute créature entrant dans le cercle ainsi formé. Il ne pourrait pas tenir longtemps à ce rythme là… Il fallait rejoindre les rangs humains au plus vite, s’il voulait avoir une chance de survie.
Modifiant brusquement la courbe de son fléau, il percuta de son arme un zombi qui fut projeté contre ses congénères, les renversant brutalement et ménageant à Ehron un passage, certes étroit, mais un passage tout de même. Il s’y engouffra aussi vite qu’il put, sautant allègrement sur les Morts Vivants à terre, balançant sa machine à tuer de gauche à droite pour éviter d’être submergé.

Enfin, il réussit à échapper aux zombies et autres créatures abjectes pour se précipiter vers le camp déjà en lutte avec l’ennemi. Non, ce n’est pas une fuite, ne cessa t il de se répéter, c’est une retraite stratégique.
Quelques morceaux de chair broyés plus tard, il rejoignit ses compagnons, aussi efficaces que lui quelques instants avant.
Avec un cri de joie féroce, il se jeta dans la bataille.



Je vous invite à continuer de narrer cet épisode, chacun de son point de vue... A vos claviers! Relevez le défi!

Galdec avait beaucoup marché ces dernières semaines. Il avait longuement arpenté Romine courant des Berges du pleureur à la Plaine de Jolmat, de cette dernière aux étendues arides du Désert Infini pour finalement traverser les marécages du Bourbier avant de revenir aux Berges du Pleureur lieu de recueillement de ressourcement pour les Chevaliers Noirs. Un cycle avait été accompli.

Ces longues pérégrinations l'avaient amené, aux côtés de ces compagnons d'escouade et de fidèles alliés (les valeureux Enragés, le terrible Doubleiu ou encore l'agile Papillon), à combattre tant les Orcs, les Elfes que les Morts vivants.

D'ailleurs c'est pour répondre à l'appel au secours du sieur Sheerkhann qu'ils avaient finalement repris le chemin des Berges. Alors qu'il étaient à quelques lieux de cette contrée à laquelle il était tant attaché, la fatigue eu raison de Galdec. Il voulu prendre un peu de repos mais il était tant fourbu que les songes le cueillir au dépourvu.

Galdec revoyait dans ses rêves, les batailles passées, les visages d'amis tombant sous les coups des ennemis mais aussi les nombreux corps d'adversaires qui s'écroulaient sous les frappes humaines.
Il revoyait Delfador lui prodiguant quelques conseils avant de se retirer en sa demeure estivale. Il se souvenait avec émotion de la demande faite pour qu'il assume la charge de guider l'escouade en son absence. Il pensait avoir agi au mieux et toujours dans l'intérêt des CN te de l' Humanité mais il souhaitait retrouver un peu de sérénité et d'insouciance et espérait ardemment le retour de leur guide historique.

Soudain un cri le réveilla en sursaut, qu'est-ce donc se demanda-t-il aussitôt en se relevant d'un bond. Il se saisit de son arme, s'agenouilla et tous les sens aux aguets il attendit ...

Aucun cri ne revenait perturber le silence tranquille des lieux toutefois, ayant eu le réflexe de se placer sous le vent, il détecta rapidement, avec effroi, une odeur inquiétante ... celle de la la chair putride caractérisant les deux fois nés.

Il se précipita dans la direction de laquelle s'élevait cette odeur pestilentielle.
Le jour se levait à peine quand il arriva sur le versant des berges qui lui permit de repérer enfin les cadavres ambulants.
Le spectacle était inquiétant il y avait là nombre de Sans vie à la renommée bien établie: le terrible Vercors, reconnaissable à sa sombre toge était là, en compagnie des redoutables Ethernum, Joloss, Aldrin, Colar, Marduf ou encore du fourbe Nikitov.
S'approchant plus avant il reconnu même les armoiries du banquier des cadavériques l'illustre et richissime Dragt-le-fou.

A n'en pas douter, la menace était sérieuse. Romine avait rarement vu pareil rassemblement. Les ennemis étaient nombreux et leur puissance incontestable. Quels noirs desseins pouvaient-ils nourrir ?
Peu importe, il fallait éliminer la menace.

Déjà les Humains affluaient de toutes part, du Nord les OPH accouraient, du Sud arrivaient nombre d'humains indépendants et de l'ouest les CN se mêlaient aux Dragons de Sheerkhann, ainsi que de tous ceux qui voulaient rejeter les Sans vie chez les Orcs.

Ehron était là sur les berges, il semblait se débattre avec des racines rampantes ou quelques vhoses d'approchant, cet incident décuplerait probablement la rage du barbare et sa frénésie au combat, en y pensant Galdec ne pu s'empêcher de sourire ... les morts vivants allaient déguster.

Sans perdre un instant Doubleiu immobilisait les imprudents qui ne prenaient pas assez de distance ou pire venait avec effronterie se balader près des rangs de l' Humanité, Joloss en fit les frais et le paya de sa vie.

Pour sa part Galdec reçu les bottes commandées auprès de Faramyr. Sitôt la livraison faite il se rua à l'assaut, son armure brillait de mille feux tandis que la lame de son épée virevoltait d'un ennemi à l'autre, Gondra, Roswell et Disthène furent promptement éliminés.

Dans le fracas de la bataille tous purent rapidement constaté que la détermination des Humains avait raison de l'expérience et de la puissance des Morvants. Ceux-ci reculaient puis, pour éviter d'être tous exterminé, ils prirent purement et simplement la fuite, la déroute des derniers représentants accompagnée de quelques massacres peu glorieux mais soulageant ... témoignaient de la fureur de la bataille.

C'est alors que Galdec décida d'empoigner de nouveau son Cor et de faire résonner le son sourd de l'instrument. Cela signifiait la fin de la poursuite pour les Chevaliers Noirs. Il était tant de se regrouper et de reprendre les chemins de Romine. Les humains en maraude seraient suffisamment puissant et nombreux pour venir à bout des fuyards... d'autres aventures attendaient l'escouade ...
Déjà d'autres répugnantes chaires en décomposition menaçaient le sud ouest du village, il fallait réagir avant un nouveau siège ...

Les Chevaliers Noirs reprenaient leurs périgrinations, vers leur pays natal en proie de nouveau à la menace mort vivante...

Ehron joua quelques instants avec une sorte de boule opaque, la lançant et la rattrapant.
Il arreta soudain puis saisit une bouteille de vieux rhum et en versa dans le recipient sphérique.
Il but lentement, releva la tete, sourit, une lueur cruelle dans les yeux. Il regarda de nouveau l'étrange coupe qu'il tenait en main. Ce n'était autre que le crane d'une liche...
Une lueur diabolique passa dans son regard et il ricana. Il broya le crane de sa main et il suivit ses compagnons.

Ces morts vivants... Quels couards...

Après la débandade des morvants à l'est des Berges du Pleureur, Galdec avait sonné le rassemblement pour se rendre au sud du village ou des morvants en maraude menacaient les voies d'approvisionnement alors que chacun était accaparé à faire les stock pour l'hiver.

Alors que les prmeiers CN l'avaient rejoints et qu'ils alalient ensemble atteindre le pont, premier point intermédiaire du voyage, ils eurent la mauvaise surprise de constater qu'une bande de Deux fosi nés leur barrait la route.

Il ne s'agissait pas là de quelques éclaireurs ou ataréds de l'armée mort vivante, mais bel et bien d'un détachement constituant un escadron de mort.

De redoutables adversaires étaient présent, tel le lugubre Throatcutter, ou le tranchant Narko, ou encore le sinistre Angylus.

Les CN se ruèrent à l'attaque cernant Narko qui avait eu la mauvaise idée de venir trop près d'eux sans assurer ses arrières. Ehron, Galdec et Neodollien se relayèrent pour lui faire mordre la poussière mais ce dernier esquivait bien ce qui lui premit de survivre bien qu'en piteux état.

C'est le moment que choisi Angylus pour sonner le glas de l'attaque matinale en immobilisant tour à tour Ehron, Grand-Pas, Neodollien, Arathorn puis Galdec.
L'avant garde des CN se trouvait maintenant immobile, figée dans la plaine sans pouvoir passer à l'action. Les autres morvants tournaient autour d'eux tel des vautours ...

Narko en profita pour se replier après avoir achevé l'un de ses assaillants et fila se mettre à l'abri ...

C'est alors que Throatcutter passa à l'action et massacra le pauvre Ehron sous les yeux de ses compagnons sans que ceux-ci puisent réagir.
Galdec fulminait et bouillait de rage.
Il fallait se dégager, retrouver la liberté de mouvement et venger son ami Ehron le barbare à la gorge abyssale ...

Il saisit alors les quatre pigeons voyageurs qu'il lui restait et en envoya le premier à Aldric des Enragés, le second autre à Sheerkhann des Dragons_Mages, le troisième à Ziorama, puissant invocateur des VBCE_VRT qui pourrait surement les désenchanter s'il arrivait à temsp et enfin le quatrième fut pour le puissant Doubleiu qui par son savoir Mystique pourrait surement les aider.
Tous ces alliés n'étaient qu'à quelques heures de marche à peine de leur position actuelle, peut-être auraient-ils le temps d'arriver ...

Ziorama accoura et pu commencer à briser les chaines magiques qui entravaient Arathorn et Galdec, les autres seraient sans doute bientôt également délivrés.

Doubleiu fit également rapidement son apparition, immobilisant immédiatement le vil Throatcutter afin de laisser une chance à ces compagnons de ne pas prendre de cousp, de récupérer et de riposter.

Enfin, une bonne nouvelle arriva du nord, Tony venait de contacter Galdec par télépathie et l'informait que lui et quelques OPH arriveraient ce soir à la rescousse ...

La journée devaient pouvoir mieux se terminer qu'elle n'avait commencée, Ehron pourrait sans doute être vengé avant la fin de la nuit ...

Soudain, alors que le soleil était à son zénith et que al chaleur se faisait étouffante, Galdec aperçu plusieurs humains monter à l'assaut. Arathorn était parmi eux et appela Galdec à participer s'il le pouvait.
Galdec n'était pas en pleine possession de ses moyens car encore quelque peu engourdi par le sort d'Angylus mais voyant que la cible de l'atatque était Throatcutter il se joignit aux assaillants.
Son hésitation fit qu'il frappa en dernier. Il porta quatre attaques qui portèrent toutes, fendant les chairs décomposées de son adversaires et brisant les os vermoulus par le temps.
La cinquième manqua sa cible car le morvant mis subitement un genou à terre sous la violence des coups de boutoir qu'il venait d'encaiser et la lame de l'épée de Galdec passa juste au dessus de sa tête au lieu de lui trancher le cou.
Une sixième attaque vint terrasser le Deux fois né qui vola en éclat et retourna à la poussière...
mais les cendres semblait se rassembler en rentrant en terre ... allait-il revenir ?

La satisfaction du devoir accompli, Ehron était vengé, était légèrement contrariée par l'immobilisation de Neodollien qui semblait se poursuivre. Tant pis, Galdec allait rester à sa place en guise de familier pour son compagnon.

Arrivé un peu tard après s'être attardé en chemin, Loric ne put que voir les derniers morts vivants retourner à la terre à l'est des Berges du Pleureur. Il s'installa alors près d'un arbre en attendant les nouvelles directives de Galdec en gromellant sur le fait de devoir courir après les ennemis en permanence ces temps ci.


Quelques temps plus tard, le cor des Chevaliers Noirs retentit. Se levant rapidement, Loric rejoignit ses frères pour apprendre que l'escouade retournait vers le village et le fameux Bourbier où il avait fait ses armes dans ses premiers temps avec les chevaliers. Comme toujours impulsif, il n'attendit pas le reste de ses frères empêtrés dans leurs lourdes armures ou robes et partit en courant dans la direction indiqué, espérant enfin trouver de l'action.

Apercevant les berges du pleureur, il obliqua vers le sud, préférant suivre le fleuve par le sud que repasser par le village. Rapidement, il croisa quelques humains semblant reculer et certains assez amochés. Ne voyant pas ce qu'il y avait au delà d'eux, il décida de voir ce qui se passait plus loin. Contournant le petit groupe et les quelques rochers près desquels ils s'étaient postés, il s'arrêta cependant rapidement en écarquillant les yeux. Là où il s'était attendu à voir quelques orques en maraude ou une vieille wyverne tout au plus, un groupe de morvants se tenait, entourés de leurs servants à moitié en morceaux. Il déglutit et commenca à reculer prudemment vers ses compatriotes, comprenant leur recul face à ce groupe visiblement bien armé.

Ayant atteint leur groupe, il commence à les aider à soigner leurs blessures avant qu'un morvant ne quitte soudainement la masse de cadavres et se jette au milieu d'eux. Ayant quelques instants pour l'étudier alors qu'il se ruait vers eux, Loric ne put distinguer grand chose à part qu'il s'agissait d'un morvant lourdement armé et engoncé dans une armure de plates usée, quoique...quelque chose lui était familier dans la façon de bouger puis de se jeter sur lui. Il esquiva du mieux qu'il put les coups de l'énorme épée de son adversaire, finissant par reculer en titubant, perdant du sang par un grand nombre de blessures. Voyant que son ennemi s'était arrêté, il perçut une lueur moqueuse dans ce qui, vu la position, devait être ses yeux, et il se souvint alors brusquement ce que le morvant lui rappelait : il s'agissait de Narko, un soldat de la clique d'Ackyrion qui l'avait abattu lors de la débandade du Bourbier après que le sorcier l'ait immobilisé.

Une vague de rage vint lui battre aux tempes, mais il réussit à se retenir de se jeter sur son ennemi et parvint à reculer au milieu des rangs humains, pendant que le morvant continuait de le fixer sans plus bouger. Il s'écroula alors, trop affaibli, et quand il se réveilla, il put apercevoir l'élite des Chevaliers Noirs arrivés à la rescousse enfoncer les morvants les plus proches. Avec un léger soupir de soulagement, il se rassit pour ne pas rouvrir ses blessures pendant que des mains amicales lui appliquaient des baumes.


"Narko...Ackyrion....ce n'est que partie remise, j'aurais votre tête personnellement une autre fois..."

Galdec sentit la bousculade dans son dos, des compagnons faisaient des pieds et des mains pour approcher les Morvants et aller leur faire tâter du métal de près... Il décida alors de se reculer quelque peu tout en gardant un oeil sur Neodollien qui était encore immobilisé.

Soudain, un murmure s'amplifia pour devenir rumeur puis colère, Ziorama était tombé sous les coups des Deux Fois Nés. Galdec n'en croyait pas ses oreilles, il se tourna vers sa gauche et effectivement l'invocateur n'était plus là. A n'en pas douter il venait de payer le prix d'avoir libéré les humains de l'emprise maléfique d'Angylus.
Il faudrait venger cet affront comme celui d'Ehron l'avait été. Arathorn, Grand-Pas, Neodollien, et tous leurs compagnons Chevaliers noirs ne laisseraient pas passer cela...

Mais il fut vite ramené la réalité par Morgoth le Brigand de Grand Chemin. Sept flèchès vinrent transpercer sa cuirasse et déjà Elisthayn psalmodiait des mots incompréhensibls mais la voix guturale de l'enchanteur dégageait clairement une sombre menace. Se sentant là et d'aucune utilité vide qu'il était de toute énergie, Galdec préféra reculer encore un peu afin d'essayer de tenir la nuit et de pouvoir remonter ainsi à l'assaut dès le lendemain.

Faramyr, le célèbre marchand de Koran Gaar, était au de Romine en compagnie de quelques Enragés et Ederna notamment, lorsqu'arriva discretement un de ses espions mort vivants qu'il payait grace à sa roche d'alcalyse en échange de renseignements précieux sur certaines positions et stratégies des chairs putréfiées.

C'est par ce biais qu'il appris que beaucoup de morts vivants très forts attaquaient les berges par le sud.
Il savait que les ChevaliersNoirs étaient à sa défense et il pris donc contact avec leur chef intérimaire Galdec via son pigeon voyageur, nommé Aiméssaine.

Galdec lui appris donc tous les derniers évènements notamment l'entrave
de certains CN la mort de Throatcutter et le sauvetage des entravés par Ziorama le puissant invocateur de sa guilde.
Hélas Galdec lui porta aussi la nouvelle de la mort de celui-ci ce qui peina énormément Faramyr
Ainsi Zio avait payé le prix de son sauvetage...

Faramyr jura sur sa vie de venger son plus ancien ami au sein de la guilde !
Il jura sur l'honneur de faire tomber ceux qui étaient responsables de sa mort !

Il décida alors de retourner aux berges afin d'aller aider ses amis...
Un seul probleme demeurait : ces innombrables piécettes qui encombraient les poches de Faramyr et qui ne demandaient qu' à etre dépensées pour prier Zirdegalik et ainsi venir encore plus fort auprès de ses amis !

Faramyr ne savait pas s'il devait revenir très vite aider ses amis en gardant cette peur de perdre cet or s durement accumulé ou bien aller le dépenser pour arriver les poches légères et bien plus fort...
Une seule chose était sure : il fallait qu'il se décide très très vite...

Galdec avec la complicité des CN et l'aide de leurs alliés du moment avait repoussé la tentative de contre attaque des Morvants.Malgré leur nombre et leur puissance et leur nombre la cohésion et la détermination des Humains avaient eu raison d'eux.

C'étaient la déroute pour les MV qui couraient maintenant pour rallier les rangs de leurs congénères qui s'étaient agglutinés au Bourbier. Les Humains comptaient bien aller les défier jusque dans les marécages si nécessaire.
Pour l'instant, l'entente humaine fonctionnait à merveille et ils longeaient tous les berges du canal desservant le lac bleu en fouillant les hautes herbes pour débusquer les Deux fois nés et leurs satanés Zombies.

Galdec avait appris par un billet déposé par Aiméssaine que le noble Faramyr, marchand attitré des CN, filait via la téléportation en direction du Bourbier pour y faire moults offrandes, après avoir occis le vil Batteran qui avait tenté de conduire Belmue outre tombe.

Bientôt, si le destin leur était favorable, les Chevaliers Noirs pourraient se battre aux côté des VBCE_VRT ets ans doute des OPH car Tony lui avait indiqué que son escouade se rendait également sur les terres sombres à l'odeur de tourbe...

Finalement les Morvants avaient bien été défaits mais la bataille avait fait tourner le front et les MV avaient pris la fuite vers le Sud et les marécages du Bourbier, Galdec et un fort parti d' Humains les pourchassaient...

Pendant ce temps, Belmue était parti vers le PR du Centre et la Guilde des Chasseurs de Primes pour toucher sa récompense suite à la mise à mort de Polyphage, le terrible magicien aux mains noirs et rougeoyantes.
L'adepte des arcanes ne faisait pas le voyage seul car Lostdream, spécialiste des besognes difficiles de la VBCE_VRT et son Chef le noble marchand Faramyr étaient également de l'excursion en terre elfique.

Galdec prenait un peu de repos près de la caravane nomade, il éprouvait le besoin d'étirer ses muscles et de s'alimenter avant de reprendre les chemins pentus de Romine qui le mèneraient jusqu'aux marécages, lorsque Aiméssaine arriva porteur d'un billet de Faramyr.

S'empressa de lire la missive dont la première partie était enjouée et laissait deviner la bonne humeur et la jovialité du marchand. Ainsi Galdec apprit qu'avant d'utiliser le téléporteur, pour se rapprocher du temple où il devait faire ses offrandes pour devenir un guerrier plus fort et un plus habile marchand, Faramyr avait réduit en poussière l' hideux Batteran.

Mais la seconde partie trahisait l'angoisse et les doutes du "Chevalier des Echoppes". En effet, la téléportation avait mené Faramyr au milieu des rangs des Sans-Vie et l'un d'eux l'avait rendu plus faible et moins rapide en le maudissant. Le fougueux chef des VBCE_VRT se sentait seul et craignait de ne pouvoir accomplir ce pour quoi il était venu en terres hostiles en solitaire. C'était sans doute pour cela qu'il avait écrit ses mots, pour se donner du courage tout en imaginant ses mis se battant pour le rejoindre et tenter de lui prêter main forte ...

Galdec imaginait son ami seul parmi les morts vivants, perdu sur une plaine marécageuse hostile avec le temple pour toute lueur d'espoir ...
Aussi écrivit-il quelques mots d'encouragement à l'intention de Faramyr lui rappelant diverses batailles récentes qui bien que mal engagées avaient toutes été victorieuse, la réussite ne pouvait les fuir maintenant, il allait réussir ...

Après avoir lâché Aiméssaine afin qu'il rejoigne son maître avec la missive porteuse d'espoir, Galdec s'éloigna de la caravane nomade, et se recueilli en se transportant par la pensée dans cette petite chapelle qui fut le prélude à tant d'aventures.
Il pria alors Jolmat et tous els Saints de Romine de donner à Faramyr la force et la résistance nécessaire à l'accomplissement de se mission, enjoignant les dieux de ne point le rappeler avant la réussite, Galdec était persuadé que Faramyr était prêt à périr en terre boueuse mais après être parvenu à ses fins, pas avant ...

Luttant contre la fatigue et les douleurs lancinantes de ses blessures, Galdec pria longtemps avant de s'écrouler de fatigue ... Lorsqu'il se réveilla, Aimésssaine n'était pas de retour ... qu'est-ce que cela voulait bien pouvoir dire ?
Le coeur lourd et l'âme tourmentée par les incertitudes, Galdec reprit son chemin qui le mènerait, avec ses compagnons, dans les marécages.

Après avoir occis le vil batteran invocateur de renom, Faramyr se remit en route vers le téléporteur : c'était l'arme absolue pour passer facilement entre les lignes des chairs putrides !

Lorsqu'il se sentit pret pour le grand saut, Faramyr se lanca dans cette nouvelle aventure.
Premiere surprise : le téléporteur le poussa bien moins loin que prévu, ce qui n'arrangeait déja pas ses affaires...
Et plus il s'enfonçait dans cette terre hostile plus l'odeur de ses ennemis se faisait sentir

Puis il vit l'horreur : une armée damnée se dressait entre lui et le temple...
Prenant son courage à deux mains, il contourna habilement l'armée érigée face à lui pour se rapprocher encore un peu plus de son objectif.

C'est alors que les ennuis commencèrent pour le "chevalier des Echoppes"

Nikitov fit son aparition : elle le maudit avec ses étranges incantations et Faramyr se senti faible comme s'il était devenu un vieillard.

Ses ennemis commencaient à se mettre entre lui et le temple, tout en le frappant pour l'affaiblir de plus en plus.

Il commencait à croire que c'était peine perdue et en désespoir de cause, envoya un dernier mot à Galdec via Aiméssaine.

Celui ci lui répondit rapidement écrivant des mots qui réconforta le coeur de Faramyr et lui redonna la force et le courage de croire en l'exploit.

Le marchand très connu de Romine veilla une partie de la nuit pour essayer de trouver la force necessaire à un dernier sprint vers le temple.

Les 4 attaques de Feathur réveilla Faramyr qui somnolait il se décida donc à passer à l'action :
Il se mit tout à coup à courir prenant un peu de cours Feathur qui resta planté là. Faramyr fendait les lignes ennemis passant entre 2 MV qui ne comprirent rien à ce qui passait.

Il eut droit à une derniere peur : il dut s'arreter net lorsqu'il vut un fléau passer devant lui
Faramyr l'esquiva et contre attaqua son assailant qui n'étais autre que Mikehell. Ce dernier lui mit un autre coup qu'il prit en plein visage. La mort n'étais pas loin mais elle ne fit rien
Faramyr regarda franchement Mikehell puis courra vers la porte du temple !!!
Il mit son adversaire dans le vent et arriva à entrer dans le temple : il avait réussi et était sauvé... Enfin pour l'instant.

Faramyr pria toute la nuit Zirdegalik et Jolmat, ces derniers les récompensant généreusement en lui offrant un pouvoir de négoce supplémentaire.

Malheuresement, il fut tué dans son sommeil par le meme Mikehell, mais son objectif était atteint et il était plutot heureux malgré sa mort...

Arrivant à la lisière des marécages les humains durent stopper leur progression pour faire face d'une part aux gardiens Morvants du PR du Bourbier ainsi qu'à l'arrière garde des Deux fois Nés qui montaient vers le Koran ...

Galdec profita de la nuit pour partir en reconnaissance entre les lignes ennemies. A l'opposé du campement humain, il découvrit une troupe elfe qui prenait position.
Il chercha aussitôt les étendards et identifia le célèbre blason des Anastasia. Cette escouade était réputée tant pour la valeur de ses combattants que pour son empathie humaine et elle était en outre signataire d'un pacte de non agression avec les Chevaliers Noirs.

Il se redressa donc et fila vers la tente qui semblait être celle du célèbre Nadram. Chemin faisant il rencontra Leonith, soldat de renom qu'il avait déjà rencontré au début de la campagne d'été sur la plaine de Jolmat.
Nadram le reçu avec la courtoisie et la bienséance caractérisant les elfes et après s'être entendu sur le respect strict du traité et le passage de consignes à leurs alliés respectifs, Galdec salua son hôte pour regagner les rangs humains.

Ayant regagné les lignes d'attaques humaines, Galdec se laissa gagner par la colère à l'idée que le PR fournissait un point d'appui à l'offensive des Sans Vie et que le village était une nouvelle fois menacé.

Galdec s'élanca alors vers les rangs ennemis, Zarkass périt de ses mains tandis que Darkjudge était laissé chancelant après avoir encaissé sept des huit assauts de Galdec et Cyrus vint paracher le travail en mettant à mort le sombre magicien.

Galdec se sentait revivre, frappant sans relâche et offrant les mises à mort à ses compagons en guise d'encouragement ... pourvu que cela dure suffismanent longtemps pour que la victoire soit nôtre pensa-t-il en reculant pour nettoyer et affuter son épée.

Ehron balaya d'un geste sec un Mort Vivant de sa hache, lui amputant une tete sanguignolente qui roula plus loin. D'un coup de talon dans l'un des genoux du Deux-fois-né, il l'abbatit au sol. Meme sans sa tete, il continuait à bouger.

Il ragarda autour de lui, observant ses compagnons. Ils étaient pour la plupart épuisés. Cette course à l'ennemi de ces dernières semaines avait véritablement ereinté tout le monde.

L'assaut macabre avait été repoussé... Mais pour combien de temps?
Les Morts vivants qui n'étaient pas en morceaux sur le sol, regagnaient l'obscurité de la nuit.
De nombreux humains étaient blessés. D'autres s'assirent sur le sol, là où ils étaient, presque inertes...

Soudain, un cri lugubre retentit. Une liche surgit sur sa monture démoniaque et continua de hurler, d'un cri qui perça les tympans des valeureux guerriers humains. Hélas, les troupes pourvoyeuses de mort se rallièrent à ce cri et rebroussèrent chemin, revenant à l'attaque.

Les troupes ne tiendraient pas le coup. C'en était fini des Chevaliers Noirs...

Une trompe rugit dans la nuit. Un cavalier vétu de noir traversa en trombe le camp, surgissant de nulle part et chargea l'ennemi seul. Cette Trompe, c'était la trompe de Delfador!
Le cavalier se retourna, fit tomber sa capuche et poussa un cri de ralliement:

"A moi Chevaliers noirs! A moi compagnons! A moi tous! Les Chevaliers Noirs ne faiblissent pas!"

Un hourra général résonna dans les rangs humains, tous se relevèrent, blessés y compris, et se précipitèrent vers ces morceaux de chair putride.

Delfador était de retour...

Bien le bonjour compagnons !

Je suis heureux de me retrouver a nouveaux a vos coté pour combattre !

Sur ce il se rua à l'assaut ce qui ne manqua pas de revigorer les Chevaliers Noirs qui se battaient déja depuis plusieurs jours

En voyant la longue silhouette noire s'enfoncer vers les premiers rangs pour se ruer à l'assaut des Morvants, Galdec reconnu la détermination et le caractère fougueux de son chef. Delfador était de retour et les Deux Fois nés allaient vite l'apprendre à leurs dépens.

Pour sa part, il venait de revenir du front où il était allé en compagnie du Chevaliers des Echoppes" qui a défaut d'avoir vendu quelque chose aux cadavres putrides, leur avait pour le moins livré de nombre coups avec suppléments de plaies et bosses en tous genre.

Pour sa part il avait délivré six frappes dont les deux premières manquèrent leur but, l'émotion de revoir son Chef l'avait quelque peu déconcentré mais il se reprit vite et frappa au but. Le denrier coup fut d'une rare violence et Galdec failli être emporté par l'élan de l'arme dont la lame coupa de part en part le squelette sanguinolant {HRP: Critique à 66, mon record}.
Le temps de faire face à son adversaire celui-ci avait disparu ... {HRP: Plantage de mon PC :=( }
Galdec se tourna vaers Faramyr et l'interrogea du regard, la moue figée sur le visage du marchand lui indiqua aussitôt que lui non plus ne comprenait pas ce qui venait de se passer.
Par quelle magie cet adversaire avait-il disparu ? Avait-il été dispersé aux quatre vents par une flèche ou autre carreau, ce qui était moindre mal ou bien avait-il profité de la confusion de la bataille pour réussir à s'esquiver au sein des rangs ennemis ?

Décu de na pas avoir pu offrir le kill à Faramyr ou d'avoir occis le Deux fois Né Galdec s'en était retourné prendre position et repos au sein des rangs humains ... et c'est de là qu'il venait d'apercevoir le Noble Delfador.

Un nouveau jour se levait sur le bourbier, terre de perpétuelles batailles entre les deux fois nés et les fiers humains.
Faramyr était à la fois de bonne et mauvaise humeur.
Mauvaise parce qu'il ne comprenait toujours pas comme ce fichu magicien MV avait pu s'en sortir alors que Galdec et lui meme étaient en train de s'occuper de son cas... Etait-ce un mauvais sort de ce mort ou bien encore un de ces foutus voleurs de kills ?
C'était peut etre tout simplement le retour de Delfador le fier chef des CN, toutefois il demeurait qu'à un moment Faramyr sembla déconnecté du monde qui l'environnait (HRP : plantage du navigateur décidément...)
Bonne bien sur du au retour de Delfador et pas forcément pour ce qu'on pensait
"Je vais enfin pouvoir lui vendre cette f**tue épée régulière qui traine dans ma cape depuis perpete" (HRP : Faramyr est quelqu'un de très vénal malgré les aparences)
Pour se mettre en forme il envoya en enfer un de ces damnés, Krakov, sous les yeux de Galdec et Delf qui admiraient le spectacle avec amusement.
"Voila encore de quoi m'avancer vers mon retour au plus haut de la scene, et il sera fracassant, certains le regretteront..."
Puis il se retourna pour se remettre à l'abri et certains diront qu'on l'entendit marmonner dans sa barbe "Tu va souffrir lomi..."

Galdec s'était ressaisi et alors qu'il s'appretait à repartir à l'assaut des lignes ennemies, Delfador hurla que Sanjyui (soldat morvant à la triste réputation) tentait d'occir Poilu.

Aussitôt, Galdec se porta en première ligne et entra en lice contre cet assaillant. ses coups firent vaciller le cadavérique qui préféra prendre la fuite pour se réfugier au plus près de ses lignes.

Galdec constata que Delfador était revenu avce la rage au ventre et celui-ci fondait déjà sur le fuyard et dès qu'il l'eu rejoint il l'acheva de quelques cousp de masses rageurs ...

Après avoir regagné sa palce dans les rangs, Galdec se reposa un peu avant de se rendre au temple y faire quelque dons, à Zirdegalik et Jolmat, en remerciements des combats remportés jusque là et pour favoriser (espérait-il) la victoire finale.

En sortant du temple, un carreau frappa l'armure de Galdec, celui-ci identifia le tireur en la personne de Tidus, elfe de l'escouade Delfense. Après être entré en contact avec ce dernier, celui-ci se confondu en excuses qui furent vite acceptées d'autant que certains humains dont Ninja_Blanc avaient agressé la pauvre Aurora qui gisait presque morte à même le sol.
Galdec s'adressa alors à l'ensemble des elfes présents en s'excusant des actes rageurs de certains humains et reçus en retour les excuses des elfes pour sa propre agression ainsi que celle de Milamber des BSS.
La trêve pouvait continuer et les Deux fois Nés restaient leurs seuls adversaires ...

Peu de temps après tout cela, Galdec eu la preuve de la bonne foi des elfes. En effet il aperçut brivement passer certains de ces êtres graciles à l'attaque avec d'autres humains. Tandis que tous se repliaient après leur assaut l'un d'entre eux désigna Galdec du regard et un autre lui indiqua du doigt un cadavérique qui tentaient de se dégager de la première ligne ennemie après avoir été blessé mais non achevé ...
Galdec fit honneur à ses compagnons et alliés du moment, il fila vers ce magicien qui tentait une dernière incantation mais sans en comprendre la signification ni en attendre le résultat ... quatre coups d'épée vinrent parachever l'oeurvre entamée par ses prédecesseurs et l'hideuses masse grouillante de vermine redevint poussière.

Galdec rejoint alors les rangs humains avec un sourire aux lèvres et un regard amusé ... ses prières n'avaient pas été vaines ...

Ces jours derniers avaient été bien remplis...

Nombre de Chevaliers Noirs avaient fait du chemin pour venir dans les marécages et les Deux Fois nés avaient pris la fuite vers leur village, seuls quelques-un restaient pour enrayer l'avancée humaine.

Les humains pourraient les écraser mais en sentait bien que chacun rechignait à s'approcher trop du charnier des Morvants, l'odeur pestilentielle y était sans doute pour beaucoup et il faut bien le reconnaître le mystérieux mal contracté par Delfador au contact des MV inquiétait également ...

Tout en sachant que cela n'allait pas plaire à ceux qui venait de faire un lon g chemin pour se joindre à al bataille, Galdec pris la décision de regrouper les CN et de partir en direction du Désert pour apporter du soutien aux OPH que l'on disait en mauvaise posture.
Si la situation s'améliorait sur cette zone il faudrait aller au village pour contrer une offensive orque sur l'ouest et la plaine de Jolmat.

Il fallait anticiper le départ prévu pour le milieu de semaine et se mettre en chemin au plus vite.